J'ai publié beaucoup d'ouvrages sur le Japon, mais j'ai aussi écrit des romans qui se déroulent dans Charlevoix, dont La Pomme de Justine et la série Idole, dont le premier tome s'intitule justement Anna de Charlevoix. Cette série de romans raconte l'histoire d'amour entre une vedette d'Hollywood et une Charlevoisienne qui se rencontre au Manoir Richelieu. Et c'est en fait les premiers romans que j'ai écrits, même avant mon premier ouvrage, Passion Japon. Je poursuis la publication, en vente uniquement dans Charlevoix.
Le lancement aura lieu le 6 décembre, à la Librairie Baie-Saint-Paul. Pour ceux et celles qui voudraient le lire en format papier, mais qui ne peuvent pas se rendre dans Charlevoix, vous pouvez m'écrire un petit mot, j'en ai aussi à la maison! :) Au plaisir de vous rencontrer!
27 novembre 2019
19 novembre 2019
La télé est-elle mon amie?
Je n’ai pas écrit sur mon blogue depuis mon retour du Japon. Le décalage horaire bien sûr a frappé. Le début de mon enseignement de japonais m’a pris du temps aussi. Mais étonnamment, ce sont les médias qui ont occupé la majeure partie de mes heures de travail. Et c’est bienvenu.
Car je dois avouer qu’après dix ans aux études supérieures (maîtrise et doctorat cumulés), je n’étais pas prête à m’embarquer dans un postdoctorat. J’espère pouvoir le faire plus tard, mais après avoir fait autre chose. Seulement… quoi?
Au moment où je me posais la question, j’ai reçu une invitation pour venir parler du changement d’heure à On va se le dire, à la télé de Radio-Canada. J’ai dit oui, car c’est un sujet qui me « gosse » deux fois par année. Puis ils m’ont demandé de revenir, et de revenir encore. J’ai fais donc plusieurs allers-retours à Montréal depuis quelques temps.
On m’a aussi contactée pour être recherchiste pour deux émissions spéciales de Ça prend un village qui seront diffusées pendant le temps des Fêtes à la radio. J’ai donc une carte d’employée de Radio-Canada pour quelques temps, c’est le fun. Je n’ai jamais été recherchiste pour une émission, mais j’ai déjà fait beaucoup de recherches et quelques centaines d’entrevues, alors c’est un bel assemblage des deux.
J’ai refait de la radio aussi, je suis allée discuter de la semaine de quatre jours à Du côté de chez Catherine un dimanche. Léo est venu avec moi à Montréal, on a fait la route ensemble, on est allés manger chinois.
La télé c’est un média qui dévoile tout. D’habitude, on ne voit pas mes gestes derrière le micro. À la télé, oui! Je parle toujours en faisant des faces... À la télé, c’est visible. Ton apparence, ton attitude, tout est là. Et n’étant pas comédienne, je n’ai rien d’autre à offrir que mon habituelle expressivité. Au début, je me questionnais beaucoup sur cela. Avant de comprendre que je n’avais qu’à simplement m’amuser, écouter, réagir avec les autres, des invités tous plus fascinants à découvrir les uns que les autres.
L’année 2020 approche, je me laisse encore un peu de temps pour pouvoir dire oui à des contrats momentanés, à des participations ponctuelles qui me motivent. En attendant de décanter le long processus universitaire et de (peut-être) mieux savoir où je m’en vais par la suite.
De toute façon, ma liste des choses à faire est déjà longue. Je viens d’y ajouter: corrections finales de L’Héritage du Kami, mon troisième roman dans le monde d’inspiration japonaise qui sortira chez Québec Amérique (en mars)! Finalement, j’ai très hâte à 2020!
Si vous venez au Salon, n’hésitez pas!
Car je dois avouer qu’après dix ans aux études supérieures (maîtrise et doctorat cumulés), je n’étais pas prête à m’embarquer dans un postdoctorat. J’espère pouvoir le faire plus tard, mais après avoir fait autre chose. Seulement… quoi?
Au moment où je me posais la question, j’ai reçu une invitation pour venir parler du changement d’heure à On va se le dire, à la télé de Radio-Canada. J’ai dit oui, car c’est un sujet qui me « gosse » deux fois par année. Puis ils m’ont demandé de revenir, et de revenir encore. J’ai fais donc plusieurs allers-retours à Montréal depuis quelques temps.
On m’a aussi contactée pour être recherchiste pour deux émissions spéciales de Ça prend un village qui seront diffusées pendant le temps des Fêtes à la radio. J’ai donc une carte d’employée de Radio-Canada pour quelques temps, c’est le fun. Je n’ai jamais été recherchiste pour une émission, mais j’ai déjà fait beaucoup de recherches et quelques centaines d’entrevues, alors c’est un bel assemblage des deux.
J’ai refait de la radio aussi, je suis allée discuter de la semaine de quatre jours à Du côté de chez Catherine un dimanche. Léo est venu avec moi à Montréal, on a fait la route ensemble, on est allés manger chinois.
La télé c’est un média qui dévoile tout. D’habitude, on ne voit pas mes gestes derrière le micro. À la télé, oui! Je parle toujours en faisant des faces... À la télé, c’est visible. Ton apparence, ton attitude, tout est là. Et n’étant pas comédienne, je n’ai rien d’autre à offrir que mon habituelle expressivité. Au début, je me questionnais beaucoup sur cela. Avant de comprendre que je n’avais qu’à simplement m’amuser, écouter, réagir avec les autres, des invités tous plus fascinants à découvrir les uns que les autres.
L’année 2020 approche, je me laisse encore un peu de temps pour pouvoir dire oui à des contrats momentanés, à des participations ponctuelles qui me motivent. En attendant de décanter le long processus universitaire et de (peut-être) mieux savoir où je m’en vais par la suite.
De toute façon, ma liste des choses à faire est déjà longue. Je viens d’y ajouter: corrections finales de L’Héritage du Kami, mon troisième roman dans le monde d’inspiration japonaise qui sortira chez Québec Amérique (en mars)! Finalement, j’ai très hâte à 2020!
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